La bralette a la cote

Catherine Pleeck

C’est plus couvrant qu’un soutien-gorge, plus court qu’un cropped top aux accents nineties, plus sexy qu’une brassière et plus cool qu’un bustier. Généralement en dentelle, souvent noir ou beige…

La bralette selon Giambattista Valli
La bralette selon Giambattista Valli© IMAXTREE

La (ou le ? ) bralette, comme l’appellent les Anglo-Saxons (traduisez brassière), connaît un joli succès auprès de la jeune génération, les tops Kendall Jenner et Bella Hadid en tête. Il est même en train de révolutionner le monde de la lingerie, habitué ces dernières années aux balconnets, armatures, coques et autres coussins push-up qui rehaussent la poitrine.

Ici, ce triangle souple privilégie le galbe naturel des seins, ce qui plaît particulièrement aux 15-24 ans, catégorie la plus dépensière en la matière, 188 euros en moyenne par an. Un tout mini habit hybride qui se porte dessous ou dessus, sous un débardeur, une chemise négligemment ouverte, voire au-dessus d’un tee-shirt blanc. Un must-have repéré autant dans les collections de nouvelles griffes de lingerie, comme Lonely, Love Stories ou Girls in Paris, que chez les mastodontes du secteur, façon Maison Lejaby, Simone Pérèle ou Etam, sans oublier sur les podiums des défilés, à la manière de Giambattista Valli (photo).

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